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Kennedy Lucky soane

Luck' ☮ 17 printemps ☮ Lycéen ☮ Homosexuel ☮ blond presque blanc comme le soleil, se ronge les ongles.

“ Adorables membres de la junky family „

Rayez les mentions inutiles J'assume ce que j'aime. Dormir? ... Euh, quand? J'peux pioncer n'importe où. Nouvelles technologies, je vous aime. Je hais les écrans tactiles! Manger de la viande, c'est le mal! Hamburger & soda forever. L'Art c'est mon DaDa.

Remplissez-moi ! Pseudo ☮nevada Âge ☮ 18 printemps Connexion ☮ trop je crois, mais moins en mai/juin Commentaire ☮ je déteste Tsu, vous le savez tous XD Dernier câlin? ☮ ba à elle quand même qui m'a manqué durant ces longues semaines (: Code:  Tait Geijer[color=lightgreen]*[/color] = Lucky Soane Kennedy

“ Je me rend à la foudre, où nos putain sont des anges. On veut croire aux révoltes des dieux, quand Satan se fait passer pour l’un d’eux... Mettre une citation ici. „

Un jour, je serais astronaute

Il y a des fois, oui quelques fois, juste quelque fois seulement, j'aimerais mettre la vie sur pause. Regarder les gens autour, voir le monde en regard sourd. J'aimerais bien... ou peut-être, j'en sais rien, j'aimerais voir les autres. Arrêter la musique infernale, voir ce qui se cache, tous ce qu'ils trament. J'aimerais oui les comprendre, être une petite sourie. Voir leurs cauchemars savoir leur déboire, les comprendre, les connaitre. Ou bien juste les avoir vu naître, savoir ce qui se cache derrière un regard, savoir pourquoi le soir ils trainent si tard. comprendre les autres, savoir ce qui cloche, pourquoi je me sens aphone, pourquoi je suis atrophié, pourquoi les autres seraient rejetés. Oui comprendre, rien qu'un instant que tout se fige, que pour une fois je bouge à mon rythme, ne pas voir les autres filer, ne pas avoir un train de retard, déambuler parmi ces statues, voir les pupilles figés, comprendre qu'ils se sont arrêté.

Je ne suis pas n'importe qui, faut pas me mettre dans le sac de ceux qui fuient, de ceux qui rient. Je ne suis pas l'enfant instable, qu'il semble de loin tant infréquentable. Simple petit enfant qui est devenu grand. Je ne suis pas un grand rebelle, un adolescent méchant. Pas envie de fumer, de boire, de taper ou sniffer, de baiser à tout va. Je ne suis ni le type enfermé, ni le type déluré. Je suis juste... je sais pas... j'en sais rien en faite, ces classements m'exaspère. Je voudrais bien, mais je manque de repère, de lumière sur mes pensées parfois amères. Parfois non.
Je n'ai rien qui va mal, je fais tout pour être normal. Je vais en cours, je mange quand il faut, je sors, je m'amuse. S'amuser, dans un temps où aujourd'hui tout ne devient que vulgarité. On boit pour se bourrer et non pas pour se lier, on fume pour se socialiser, on baise pour se normaliser. J'aimerais trouver un recoins, trouver la falaise qui surplombe pour mon bien, comprendre ce qui cloche, comprendre pourquoi je me sens si loin. Délavé, exténué, pour moi le monde marche sans avancé. Il continue, file droit faire une finalité, alors que je me bat pour faire un pat. Je marche au ralentit, parfois oui je me sens abrutit.

En faite je ne suis ni rebelle, ni faible. Je suis un garçon comme les autres, je suis bon en cours, je suis drôle et je sors. Je joue aux jeux vidéo, je passe mon temps sur internet, je suis un garçon ordinaire. Et pourtant y a comme un bip dans ma tête, comme si j'étais analphabète, je vois, je suis, mais dans tout ce qui m'entoure il y a quelque chose qui m'embête. Oui voila je me sens parfois un peu bête.

Bête oui je me sens bête, surtout face à lui, surtout contre lui. Je ne pense qu'il soit... , ou bien c'est que ne me connait pas. J'en sais rien, comment le détester ? J'sais bien pourtant vu qu'il ne cesse de me brimer. Mais j'y peux rien, c'est comme ça j'lutte pas contre mon bien. J'fais rien de mal, je le regarde, il me frappe et m'assassine de mot. M'assassine du regard, moi je finis hagard. Mais qu'est-ce qu'il s'en fou je vous le dis, il prend plutôt un plaisir fou je crois, enfin c'est flou. J'fais rien de mal, je sens juste son odeur, j'imagine ses mains le matin, je rêve de sa voix contre moi. Alors non je fais rien de mal, c'est simple, j'avoue peut-être pas banal. J'suis accro, voila c'est simple ça se résume en un mot. Son sourire, son regard amical avec les autres, son côté brusque et facho. Son côté méchant mais pas trop. Je l'aime c'est simple, comme une fillette qui apprend et marche vers une amourette, comme un débile profond qui s'enfonce dans les tréfonds. Je m'en fou. J'fais rien de mal. Bart. J'fais rien de mal ! Je faisais en fait ! Parce que ce que je peut être bête. Une soirée déguisé, des collants, un soutifs une robe décolletée. J'pensais surtout être a l'abris des regards flou, j'pensais qu'avec des lentille verte des cheveux roux, tout redeviendrait plus simple. Sauf que non, j'fais rien de mal, enfin je le faisais pas en mal. Son regard, son sourire, sa voix enjoué, ses sourires cléments. J'en sais rien, il n'a pas comprit, il a pas tout saisit. J'me suis dis qu'il le faisais exprès, mais non c'était juste mon effet. Alors oui je l'avouie, oui j'ai repris ce jeu de fou; perruque rousse, lentille verte, mascara en paquet, rouge à lèvre étrange, collants de p*te, soutifs rembourrés. J'ai recommencé, c'est simple je me serrais damné, pour ses mains, pour son sourire. Pour un jour ses lèvres qui aujourd'hui ne cessent de me hanter. Alors oui plus ça avance plus j'y pense, lui dire ? Lui avouer ? J'suis sur qu'il pourrait me tuer... Et puis pourquoi renoncer ? Pourquoi arrêter alors qu'ainsi il semble avouer qu'il puisse m'aimer, au moins m'apprécier... J'm'en fou grand-ma', tu peux critiquer mes attirances, tu peux blâmer maman pour ma déchéance, moi ce soir j'irais danser, j'irais jouer avec celui qui un jour m'enverra me damner.